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La France juive : essai d'histoire contemporaine / Édouard Drumont
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LA FRANGE JUIVE

rablement.Voyez Cazot, voyez Marius Poulet et Brutus Boucliet ; ces purs, hirsutes et mal peignés, nont pas eu la légèreté de touche quil fallait pour réussir. Figurez-vous un pick-pocket^qui ferait des bleus à ceux quil fouille- » rait, marcherait srur la queue des^ chiens ou casserait des carreaux au moment dopérer, tous les regards se porteraient sur lui, et la foule le poursuivrait en criant : « hou ! hou ! »

La seule ressource du Jacobin, en dehors de ce quil nous extorque par le budget, est de se mettre en condition chez Israël, dentrer comme adminis­trateur dans quelque compagnie juive. yn lui fera sa part.

Le seul auquel la Révolution ait profité est le Juif. Tout vient du Juif ; tout retient au Juif.

* Il y a une véritable conquête, une mise à la glèbe dg toute une nation par une minorité intime mais cohésive, comparable à la mise à la glèbe des Saxons par les soixante mille «Normands de Guillaume le Conquérant.

Les procédés sont différents, le résultat est le même. On retrouve ce qui caractérise la conquête : tout un peuple travaillant pour un autre qui sapproprie, par un vaste système dexploitation financière, le bénéfice du travail dautrui. Les immenses fortunes juives, les châteaux, les hôtels juifs ne sont le fruit daucun labeur effectif, daucune production; ils sont la prélibation dune race dominante sur une race asservie.

Il est certain, par exemple, que la famille de Rothschild, qui possède osteu,sifflement trois milliards rien que pour la branche française, ne lq$ avait pas quand elle est arrivée en France ; elle ira fait aucune invention, elle na découvert aucune mine, elle na défriché aucune terre; elle a donc prélevé ces trois milliards sur les Français sans leur rien donner ei.', échange. »

Cette fortune énorme saccroît par une progression en quelque sorte fatale.

Le D r Ratzinger la dit très justement :

« Lexpropriation de la société par le capital mobile seffectue avec autant de régularité que si cétait une loi de la nature. Si on ne fait rien pour larrêter, dans lespace de cinquante ans, ou, tout au plus, dun siècle, toute la société européenne sera livrée, pieds et poings liés, à quelques centaines de banquiers juifs. »

Toutes les fortunes juives se sont constituées de la même façon par une prélévàtion sur le travail dautrui.

« La spéculation, dit Schæflle, qui fit partie du ministère conservateur de Holienwarth, en Autriche, a touché, grâce à lagiotage, deux milliards six cent vingt-six millions de^francs en susdu prix démission sur les actions