LA FRANGE JUIVE
rablement. ‘Voyez Cazot, voyez Marius Poulet et Brutus Boucliet ; ces purs, hirsutes et mal peignés, n’ont pas eu la légèreté de touche qu’il fallait pour réussir. Figurez-vous un pick-pocket^qui ferait des bleus à ceux qu’il fouille- » rait, marcherait srur la queue des^ chiens ou casserait des carreaux au moment d’opérer, tous les regards se porteraient sur lui, et la foule le poursuivrait en criant : « hou ! hou ! »
La seule ressource du Jacobin, en dehors de ce qu’il nous extorque par le budget, est de se mettre en condition chez Israël, d’entrer comme administrateur dans quelque compagnie juive où. yn lui fera sa part.
Le seul auquel la Révolution ait profité est le Juif. Tout vient du Juif ; tout retient au Juif.
* Il y a là une véritable conquête, une mise à la glèbe dg toute une nation par une minorité intime mais cohésive, comparable à la mise à la glèbe des Saxons par les soixante mille «Normands de Guillaume le Conquérant.
Les procédés sont différents, le résultat est le même. On retrouve ce qui caractérise la conquête : tout un peuple travaillant pour un autre qui s’approprie, par un vaste système d’exploitation financière, le bénéfice du travail d’autrui. Les immenses fortunes juives, les châteaux, les hôtels juifs ne sont le fruit d’aucun labeur effectif, d’aucune production; ils sont la prélibation d’une race dominante sur une race asservie.
Il est certain, par exemple, que la famille de Rothschild, qui possède osteu,sifflement trois milliards rien que pour la branche française, ne lq$ avait pas quand elle est arrivée en France ; elle ira fait aucune invention, elle n’a découvert aucune mine, elle n’a défriché aucune terre; elle a donc prélevé ces trois milliards sur les Français sans leur rien donner ei.', échange. »
Cette fortune énorme s’accroît par une progression en quelque sorte fatale.
Le D r Ratzinger l’a dit très justement :
« L’expropriation de la société par le capital mobile s’effectue avec autant de régularité que si c’était là une loi de la nature. Si on ne fait rien pour l’arrêter, dans l’espace de cinquante ans, ou, tout au plus, d’un siècle, toute la société européenne sera livrée, pieds et poings liés, à quelques centaines de banquiers juifs. »
Toutes les fortunes juives se sont constituées de la même façon par une prélévàtion sur le travail d’autrui.
« La spéculation, dit Schæflle, qui fit partie du ministère conservateur de Holienwarth, en Autriche, a touché, grâce à l’agiotage, deux milliards six cent vingt-six millions de^francs en sus’du prix d’émission sur les actions