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LA FRANCE JUIVE
comprendre l’art élevé. — L’ignorance des Juifs au Moyen Age. — La constitution physique. — Le Juif portugais et le Juif allemand. — La voix de la race. — Daniel Deronda
— Les tribus perdues. — La Femme de Claude. —Les Juifs du Sahara.— LesJuils chinois. — Les Falachas. — Coninysby. — La solidarité des Juifs. — Les piaillements du Juif. — Pacifico, Lévy de l’Enflda, le petit Mortara, Lipmann, Selikowitch. — La duchesse de Berry et Deutz. — Un cas de conscience jugé par Crémieux. — L’espionnage juif. — La criminalité juive. — Un passage de Maxime du Camp. —Les célébrités du vol. — Les associations de voleurs juifs. — L’affaire Peschard. — Impunité presque absolue accordée aux Juifs d’aujourd’hui. — Les grands accaparements. — Les rois juifs.
— Les réhabilitations. — Levy Bing. — Les révolutionnaires de l’orthographe. — Les Juifs et la peinedemort. —La prostitution juive. — Les hiérodulet. — Les Juives. — Influence des prescriptions religieuses. — Le chiffre de la population juive. Chiffres et documents contradictoires. — Le Juif au point de vue nosologique. — Les immunités du Juif devant la peste. —L’odeur juive et Victor Hugo.— La névrose juive. —Son caractère particulier. — Les existences romanesques. —M m6 de Païva. —Midhat Pacha. —Naquet. —La politique etla régénération du cuir chevelu. — L’article 1965. — Le drame juif. — La dégénérescence de la race. —La tristesse juive. — Les crises religieuses du Judaïsme.
— Laquestion du Messie. —Israël, phare des nations.—Le Juif moderne d’après Renan.
— La campagne antisémitique. — Ce qui doit se faire se fera.
Il nous faut, au début de cette étude, essayer d’analyser cet être particulier, si vivace, si complètement différent des autres êtres : le Juif.
La tâche, au premier abord, paraît facile. Nul type n’a une physionomie plus énergiquement caractérisée, nul n’a conservé plus fidèlement la netteté de l’effigie première. En réalité, ce qui nous gêne pour le bien comprendre et pour le bien peindre, ce sont nos propres idées, le point de vue où nous nous plaçons et qui est absolument distinct du sien.
« Le Juif est lâche, » dit le vulgaire. Dix-huit siècles de persécutions supportées avec une force d’endurance incroyable témoignent que, si le Juif n’a pas la combativité, il a cette autre forme de courage qui est la résistance.
Lorsque nous voyons certains hommes qui sont riches, qui avaient des noms honorés, servir un gouvernement qui outrage toutes les croyances, pouvons-nous sérieusement traiter de lâches des gens qui ont tout souffert plutôt que de renoncer à leur foi ?
« Le Juif a le culte de l’argent. » Cette constatation d’un fait évident est encore une phrase déclamatoire dans la bouche de la plupart de ceux qui la prononcent.
Voilà des grands seigneurs, des femmes pieuses, des habituées de Sainte- Clotilde et de Saint-Thomas d’Aquin qui quittent l’église pour aller faire des salamalecs à un Rothschild qui regarde comme le plus vil des imposteurs le Christ qu’ils adorent. Qui les force à aller là? L’amphitryon qui les attire a-t-il un -esprit extraordinaire? Est-il un causeur incomparable? A-t-il rendu des services à la France? Nullement. C’est un étranger, un Allemand peu