LA. FRANCE JUIVE
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le Juif Michel est guillotiné pour avoir livré à la Russie des documents militaires. Un autre Goldsmith dérobe, il y a trois ans, les plans du grand État-major prussien. On sait le rôle qu’a joué la Païva avant la guerre. Qui ne se rappelle les tentatives faites par la Juive Kaulla pour surprendre nos plans de mobilisation? Qui a oublié Esther Guimont et son fameux salon politique?
Le Juif Gustave Klootz, dont les parents ou les homonymes avaient, je crois, éprouvé quelques désagréments judiciaires à Paris vers 1869, trahit le général Hicks, qui est égorgé avec ses troupes par les soldats du Mahdi. Klootz reçoit une forte somme d’argent, et il est nommé général.
Kraszewski se confie au Juif Adler qui le vend à la Prusse, et le vieux poète polonais est jeté dans une forteresse.
Devant ces faits qu’il serait facile de multiplier à l’infini, il est visible qu’il s’agit non d’un cas isolé qui ne prouve rien contre une collectivité, mais d’une vocation spéciale à une race, la vocation d’Abraham .
Pour les Juifs cela constitue-t-il de l’espionnage ou de la trahison? En aucune façon. Ils ne trahissent pas une patrie qu’ils n’ont pas, ils font des affaires, de la diplomatie, de la politique, voilà tout. Les vrais traîtres à leur pays sont les natifs qui laissent des étrangers mettre le nez dans ce qui ne les regarde pas. Les ministres républicains qui, non contents de nommer officier de la Légion d’honneur Oppert de Blowitz, Allemand de naissance et Anglais d’occasion, le prennent pour confident, lui livrent le secret de nos arsenaux, sont dignes de tous les mépris. Mais de quel droit empêcheriez-vous ce Juif oscillant entre deux patries de favoriser de ses renseignements celle des deux qui paye le mieux?
Ceci, on le comprend, rend fort difficile l’étude du Juif au point de vue de la criminalité. Comme dit cet excellent Crémieux, c’est l 'intention qui est tout. Le mal que font les Juifs, mal épouvantable, insondable, inconnu, rentre dans la catégorie des crimes commis au nom de la raison d’Etat. Assassiner, ruiner, dépouiller le chrétien constitue pour eux un crime agréable à Dieu . Gomme l’explique Eisenmenger dans te Judaïsme dévoilé c’est ce qu’ils appellent faire un Korban.
Tel Juif qui aura, à l’aide de ses coreligionnaires, réduit au désespoir ou au suicide un négociant chrétien dont il veut prendre la place sera vis-à- vis des siens le plus charitable, le plus serviable, le plus désintéressé des amis.
T 'absence de tout fi «mi ment statistique sérieux, l’habileté avec laquelle les Juifs, qui sont tous de connivence entre eux. cachent leurs actes,