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LA FKANCE JUIVE
elles auront ramassé un pécule ; elles épousent alors un comédien, un négociant, un financier.
L’an dernier, on jugeait à Vienne (Autriche ), une bande d’escrocs qui, associés à des filles, avaient fait d’innombrables ravages.
Au cours des débats, l’avocat, chargé de la défense d’une des accusées, le Juif Glaser , dit : « Toute femme a le droit de vendre [son corps et de âcher d’en tirer le meilleur parti possible. »
Le public révolté se mit à pousser des clameurs. Le président exprima son indignation, Glaser était cependant dans la pure tradition sémitique. Les hiérodulc s, les prostitutions dans les temples de Chypre [et de Paphos ne se rattachaient en rien à la religion de la Grèce , elles étaient d’origine exclusivement phénicienne.
La prostituée, d’ailleurs, sert Israël à sa façon; elle accomplit une sorte de mission en ruinant, en poussant au déshonneur les fils de notre aristocratie; elle est un merveilleux Instrument d’information pour la politique juive .
La femme juive de la classe aisée vit à l’orientale, même h Paris , fait la sieste l’après-midi, garde je ne sais quoi de fermé et de somnolent. Elle est étrangère aux passions violentes, qui troublent si souvent le cœur de la chrétienne que la foi ne garde plus; elle est préservée justement par cette absence de tout idéal, qui est la caractéristique des Sémites G
Quelle est pour la femme et pour l’homme la grande cause des fautes de l’Aryen, cet éternel échappé du monde réel? C’est l’aspiration vers l’idéal qui se trompe de chemin, le rôve d’un être supérieur à tous les autres, le chimérique espoir de rencontrer une âme sœur de la nôtre, le besoin de vivre, ne fût-ce que pour quelques heures, dans la région des sentiments purs, des amours ardentes, dés tendresses infinies. Ni le Sémite , ni la Sémite n’ont de ces exaltations.
Vous ne verrez jamais les Juives discuter les questions religieuses, sur lesquelles elles sont d’une ignorance absolue. Le Juif a parfaitement compris le danger qu’aurait présenté une instruction où l’aveuglement d’Israël se serait vite révélé et qui, par la comparaison, aurait permis à la femme de constater que l’accomplissement des prophéties et la venue
1. Ce que je dis des passions de l'amour peut s’appliquer à l’ivresse, plus rare chez les Juifs que chez les chrétiens. Le besoin de se dédoubler, de s’exciter, de remuer violemment tout notre organisme, est une forme basse du sentiment de l’idéal, c’est l’idéal tombé instinct.. Le Juif est étranger à ces troubles de l’âme. Dès qu’il lui est démontré que l'ivresse ne rapporte rien, il n’en éprouve pas le désir.