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La France juive : essai d'histoire contemporaine / Édouard Drumont
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LA FKANCE JUIVE

elles auront ramassé un pécule ; elles épousent alors un comédien, un négociant, un financier.

Lan dernier, on jugeait à Vienne (Autriche ), une bande descrocs qui, associés à des filles, avaient fait dinnombrables ravages.

Au cours des débats, lavocat, chargé de la défense dune des accusées, le Juif Glaser , dit : « Toute femme a le droit de vendre [son corps et de âcher den tirer le meilleur parti possible. »

Le public révolté se mit à pousser des clameurs. Le président exprima son indignation, Glaser était cependant dans la pure tradition sémitique. Les hiérodulc s, les prostitutions dans les temples de Chypre [et de Paphos ne se rattachaient en rien à la religion de la Grèce , elles étaient dorigine exclusivement phénicienne.

La prostituée, dailleurs, sert Israël à sa façon; elle accomplit une sorte de mission en ruinant, en poussant au déshonneur les fils de notre aristocratie; elle est un merveilleux Instrument dinformation pour la politique juive .

La femme juive de la classe aisée vit à lorientale, même h Paris , fait la sieste laprès-midi, garde je ne sais quoi de fermé et de somnolent. Elle est étrangère aux passions violentes, qui troublent si souvent le cœur de la chrétienne que la foi ne garde plus; elle est préservée justement par cette absence de tout idéal, qui est la caractéristique des Sémites G

Quelle est pour la femme et pour lhomme la grande cause des fautes de lAryen, cet éternel échappé du monde réel? Cest laspiration vers lidéal qui se trompe de chemin, le rôve dun être supérieur à tous les autres, le chimérique espoir de rencontrer une âme sœur de la nôtre, le besoin de vivre, ne fût-ce que pour quelques heures, dans la région des sentiments purs, des amours ardentes, dés tendresses infinies. Ni le Sémite , ni la Sémite nont de ces exaltations.

Vous ne verrez jamais les Juives discuter les questions religieuses, sur lesquelles elles sont dune ignorance absolue. Le Juif a parfaitement compris le danger quaurait présenté une instruction laveuglement dIsraël se serait vite révélé et qui, par la comparaison, aurait permis à la femme de constater que laccomplissement des prophéties et la venue

1. Ce que je dis des passions de l'amour peut sappliquer à livresse, plus rare chez les Juifs que chez les chrétiens. Le besoin de se dédoubler, de sexciter, de remuer violemment tout notre organisme, est une forme basse du sentiment de lidéal, cest lidéal tombé instinct.. Le Juif est étranger à ces troubles de lâme. Dès quil lui est démontré que l'ivresse ne rap­porte rien, il nen éprouve pas le désir.