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LA FRANCE JUIVE
ces originales mélodies dont le rythme bizarre reste dans l’oreille charmée. Ils seraient, en un mot, parfaitement heureux, comme les Français du reste, si les Juifs n’existaient pas.
Le Juif, là, ne constitue pas une maladie üxe, un marais plus ou moins étendu et plus ou moins fétide, c’est une sorte d’écoulement perpétuel qu’il est impossible d’arrêter. Le grand réservoir du Sémitisme, la Galicie et les provinces Russes limitrophes déversent incessamment là leurs hordes puantes.
Cent fois on a décrit ces Juifs à tire-bouchon, à houppelande crasseuse ornée d’énormes brandebourgs, laissant tomber la vermine partout où ils passent, offrant un danger constant pour la salubrité publique.
Acharnés sur ce malheureux pays, où leur Messie , disent-ils, doit naître de la famille d’Isrolka, les Juifs ont fait de lui ce qu’ils voudraient faire de la France ; ils le dévorent, ils le rongent, ils le sucent, ils l’épuisent. Monopolisant la vente des liqueurs fortes, ils attirent petit à petit à eux tout l’argent, tous les produits, toutes les propriétés de la contrée 1 2 .
Dès qu’un fermier a mis le pied dans un cabaret, il est perdu, tout passe dans l’engrenage : la ferme, le champ, le bétail, les vêtements, l’anneau de mariage, tout. Abruti par le poison qu’on lui verse, l’infortuné signe un engagement qu’on surcharge et qu’on ne lui représente plus que bien longtemps après, lorsqu’il est hors d’état de payer. Alors le Juif fait saisir, et un compère achète à vil prix le petit domaine du pauvre diable.
Tout le petit commerce, écrit M. Ernest Desjardins 3 , membre de l’Institut comme M. Waddington, et peu suspect par nature d’exagération, est
1. Les faits se produisent delà même façon en Russie . Dans le Juif de Soflevka, un volume publié chez Plon, V. Rouslane, qui, me dit-on, est le pseudonyme d'une femme d’un grand cœur, la baronne d’Uxkull, dont le mari est ambassadeur de Russie près le roi d’Italie , a admirablement décrit l’absorption d’un village tout entier par une famille de Juifs. Un Juif tombe d'inanition à la porte d'un château, un vieux domestique, guidé par son instinct, veut le repousser, le seigneur miséricordieux intervient et le recueille ; au bout de quelques années le Juif est absolument le maître; il a amené toute une tribu ; le seigneur est ruiné, le château appartient aux envahisseurs. Le dénouement est superbe. Raillés par ceux qui les ont dépouillés, ces malheureux paysans russes aperçoivent tout à coup la réalité; sans réfléchir, sans se concerter, instinctivement, ils s’élancent sur les Juifs; ils ne pillent pas, mais égorgent, brûlent, et ne s'arrêtent que lorsqu'ils sont à bout de force.
Malgré les sages mesures du gouvernement russe, le baron juif Stieglitz n’en a pas moins laissé en mourant une fortune de 300 millions.
Le vampirisme juif dans ce pays a gardé encore son côté brutal et matériel ; chez nous la pieuvre est gantée, elle arrache la bourse sans violence. Quand la victime crie par hasard, la presse juive fait aller la musique pour couvrir sa voix : « Affranchissement, principes de 89, oubii de préjugés barbares... a Le malheureux ruiné comprend qu'il serait de mauvais goût de se plaindre et "va se suicider loin du palais du Juif pour ne pas le déranger.