LA FRANCE JUIVE
nos
JVsjKTo en Jésus: sur la terre,
Je n'ai pas rougi de sa loi :
Au dernier jour, devant son Père.
Il ne rougira pas de moi.
Unis au Christ, participant à ses soullrunces pour participer plus tard a sa gloire, vous serez plus directement aussi, au point de vue humain, en communion avec l’àme de vos pères.
Mes lecteurs, j’en suis convaincu, ne sont point dupes des Pharisiens rouges qui s’apitoient sur les auto-da-fés en louant les misérables qui, eu septembre égorgeaient par milliers, au nom de l'humanité et du progrès, des prisonniers, des vieillards, des malades, des fous, qui faisaient monter sur des échafauds ruisselant de sang des enfants, des jeunes filles de quinze ans, des femmes de quatre-vingt-dix ans, des infirmes qui no savaient même pas ce dont on les accusait.
Malgré tout, il est difficile de se soustraire totalement à l’influence de ce qu’on entend du matin au soir, à l’impression de l’atmosphère intellectuelle factice créée parla presse juive, et les meilieurssubissent parfois, malgré eux, ce que nous avons appelé déjà : les préjugés du modernisme.
Eclairé par le présent travail, qu'il pourra compléter par ses observations personnelles, chacun se rendra mieux compte désormais de la réalité des choses.
Non, les hommes qui ont fait si grandes la France et l’Espagne du passé n’ont été ni des scélérats ni des imbéciles; les mesures qu’ils ont prises n’ont pas été des fantaisies de tyrans en délire, mais elles ont correspondu à des nécessités évidentes, il des périls qui se manifestaient aux yeux de tous. Le chrétien n'a pas voulu qu'on jetât, comme aujourd'hui, le Christ aux gémonies; l'Aryen n’a pas voulu subir l’oppression du Sémite, être condamné à travailler pour l’enrichir. Une race, c'est-à-dire une réunion d’individus pensant de même, un ensemble représentant un certain nombre do sentiments, de croyances, d'aspirations, d'aptitudes, de traditions, s’est défendue contre une race qui représentait des sentiments, des croyances, des aspirations, des aptitudes, des traditions absolument contraires...
(Sans doute une telle démonstration semble n'avoir plus guère qu'un intérêt doctrinal devant le résultat accompli. L’examen de ces questions assurera, du moins je le souhaite, le croyant dans sa foi en lui montrant que tout se tient dans cet ordre et que l’amour de la Patrie et l’amour de Dieu ne font qu'un. L'histoire vraie détruira certaines objections élevees contre l'Eglise par les créateurs de l’histoire fausse, elle dissipera certains