LA FRANCE JUIVE
Plus de deux cents millions !
Certaines de ces affaires, dont les actions valent aujourd’hui zéro et qui n’ont pu être lancées que par des moyens frauduleux, sont évidemment de pures et simples escroqueries.
Ce détournement énorme de l’argent acquis par les travailleurs ne s’en est pas moins accompli avec une impunité absolue.
Sans doute, il est très explicable que des ministres de la Justice francs- maçons et inféodés aux Juifs, comme les Cazot, les Humbert, les Martin- Eeuillée, les Brisson, ne trouvent point ces faits répréhensibles. Mais la magistrature, a eu à sa tête, avant eux, des hommes d’une intégrité indiscutable, comme les Tailhand, lesErnoul, tes Depeyre; ils n’ont pas agi davantage que les ministres francs-maçons.
Regardez le duc de *ia Itochefouûauld-Bisaccia que je .prends ici, sans nulle animosité particulière, comme un personnage représentatif, ainsi que s’expriment les Anglais, comme le représentant de l’aristocratie. Il reçoit parfaitement Erlanger chez lui; la baronne Erlanger fait partie à Deauville de la société selected de la duchesse de Bisaccia. Le duc de ta Rochefoucauld ne soupçonne même pas qu’il y ait un coîhmandement de Dieu qui dit :
Lo Dion d’autrui tu ne prendras Ni retiendras à ton escient.
«
Ne vous payez pas de mots, ne vous arrêtez pas aux apparences, et vous constaterez que le duc de la Rochefoucauld et le prince Kropotkine ont à peu près les mêmes idées sur la propriété, et que la notion du bien et du mal est également oblitérée chez, les deux. « Choisissez dans le tas, emparez- - vous de tout ce qui est à votre convenance ! » dit le chef des anarchistes. Au fond, c’est exactement ce que fait Erlanger avec l’approbation tacite de la haute société française. Le révolutionnaire a du moins pour excuse dfiHre vivement ému par les souffrances des déshérités, et de vouloir leur donner'le nécessaire. L’aristocratte française, admet, au‘contraire, ' qu’un seul homme dépouille à son profit des milliers d’êtres humains pour s’assurer le superflu. * *
Ce symptôme est grave, et l’on peut dire que ce qui fait l’immoralité des jours actuels, ce n’est pas tant le nombre des coquins qui volent que le nombre des honnêtes gens qui trouvent tout simple que l’on vole.
S’il en est ainsi, c’est £ue la plupart des catholiques eux-mêmes sont absolument étrangers à l’économie sociale chrétienne. Ils ne se doutent pas que si l’homme a été condamné par Dieu au travail, le devoir de la