LA FRANGE JUIVE
nombre de mains gouverne à son gré toute la vie économique des peuples,
asservit le travail et se repaît de gains iniques acquis sans labeur.
* 0
Ces questions, familières à tous ceux qui pensent en Europe , sont presque inconnues en France . La raison, en est simple. Le Juif Lassalle lui-même a constaté combien était mince le fonds intellectuel de la bourgeoisie dont les opinions sont fabriquées par les gazettes. « Celui qui lit aujourd’hui son journal, écrivait-il, n’a plus besoin de penser, d’apprendre, d’étudier. Il est prêt sur tous les sujets et se considère comme les dominant tous. » Il y a soixante ans que Fichte , dans une espèce de vision prophétique qui n’omettait aucun détail, a peint ces lecteurs « qui ne lisent plus de libres, mais seulement ce que les journaux disent des livres, et à qui cette lecture narcotique finit par faire perdre toute volonté, toute intelligence, toute pensée et jusqu’à la faculté de comprendre ».
Or, presque tous les journaux et tous les organes de publicité en France étant entre les mains des Juifs ou dépendant d’eux indirectement, il n’est pas étonnant que l’on nous cache soigneusement la signification et la portée de l’immense mouvement aifiisémitique qui s’organise partout.
Tandis qiie le moindre personnage juif est surfait, tambouriné, célébré sur tous les tons, de vrais grands hommes, des patriotes au cœur ardent comme Simoniy, Istoki, Onody, Stocker, sont absolument ignorés de nous. Il faut avoir approché quelques-unes de ces magnifiques individualités, avoir causé avec un de ces penseurs austères illuminés par le génie, pour comprendre ce qu’a encore en réserve cette admirable race aryenne qui a déjà rendu tant de services à l’humanité.
L’âme attristée, desséchée* atrophiée par les basses calomnjes, les dénonciations ignobles qui alimentent seules notre vie intellectuelle d’aujourd’hui si. étrangement abaissée, se dilate et respire devant les vastes horizons que déroulent ces nobles esprits, devant la conception grandiose qu’ils se font de l’Europe chrétienne.
En tout cas, il m’a paru intéressant et utile de décrire les phases successives de cette Conquête Juive, d’indiquer comment, peu à peu, sous l’action juive , la vieille France s’est dissoute, décomposée, comment à ce peuple désintéressé, heureux, aimant, s’est substitué un peuple haineux, allumé d’or et bientôt mourant de faim.