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LA FRANCE JUIVE
est en ruines comme ce château abandonné ; le monde nouveau s’agite à quelques pas de vous dans cette cité juive d’ou sortiront, jusqu’à l’heure d’une renaissance chrétienne, les millionnaires adulés par une société servile, les artistes acclamés sur la foi de réclames par la foule imbécile et badaude.
Il ne faut point juger, en effet, du mérite artistique ou littéraire des Juifs par tout ce qu’ils impriment aujourd’hui. Ils diraient volontiers de tous leurs savants ce qu’ils disent du rabbin Eliezer dans la Bibliothèque rabbinique de Bartolocci : « Quand le firmament serait de vélin et quand l’eau de la mer se changerait en encre, elle ne suffirait pas à écrire tout ce qu’il sait. » Des chefs-d’œuvre chrétiens sont laissés dans l’ombre; on bat la grosse caisse, au contraire, pour tout ce qui porte la marque juive; on décerne l’épithète d’honneur, l’épithète chover, au moindre plumitif ou au plus affreux barbouilleur qui appartient de près ou de loin à la confrérie.
La vérité est que le Juif est incapable de dépasser un degré très peu élevé. Les Sémites n’ont aucun homme de génie de la taille de Dante, de Shakespeare, de Bossuet, de Victor Hugo, de Raphaël, de Michel-Ange, de Newton, et on ne comprendrait pas qu’ils en eussent *. L’homme de génie, presque toujours méconnu et persécuté, est un être supérieur qui donne quelque chose à l’humanité; or, l’essence même du Juif est de ne rien donner. Rien d’étonnant à ce qu’ils s’en tiennent à un talent d’écoulement facile. Leur Corneille, c’est Adolphe d’Ennery, et leur Raphaël, c’est Worms.
En art, ils n’ont créé aucune figure originale, puissante ou touchante, aucune œuvre maîtresse ; ils n’admettent que ce qui se vend, ils font le
1. Quel plus frappant exemple de cette impuissance créatrice du Sémite que cette Carthage qui, après avoir été un moment la maltresse du monde, n’a pas laissé une œuvre d’artî Quand les Sémites, tout-puissants à l’heure actuelle, les Rothschild, les Camondo, les Stern, souverains de la Tunisie, grâce à Gambetta, se sont décidés à sacrifier quelques sous sur leur bénéfice pour interroger les ruines de Carthage, ils n’ont trouvé que quelques objets insignifiants, tandis que la plu» humble bourgade de la Grèce nous livre chaque jour de nouveaux trésors. Il y avait plus d'art dans la fabrique d'un potier habitant un hameau de la Béotie, Tanagra, que dans Carthage tout entier.
Comme nous le montrent MM. Georges Perrot et Charles Chipiez, dans leur Histoire de l’art dans l’antiquité, les Phéniciens régnèrent pendant des siècles sur la Méditerranée, sans inspirer aux peuples avec lesquels ils étaient sans cesse en rapport d'autres sentiments que la défiance et 1 effroi pour leur âpreté au gain, pour leur perfidie, pour leurs méfaits. « On savait que, par ruse ou par force, ils prenaient ce qu’on ne leur vendait pas, qu’il* faisaient le commerce des esclaves et que tous les moyens leurs étaient bons pour s’emparer, par force ou par ruse, d’une belle fille ou d’un enfant. On ne pouvait se passer d’eux, et on les craignait, on les détestait. On les appelait no).uitaÎ7taXo\, les hommes « très fins », « ceux-'qui savaient tromper », c«iaTT]Xi'a eîSovèç, « ceux qui exploitaient, qui dévoraient », Tpwxvod, « et qui faisaient une foule de maux aux hommes ».