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Le vice cependant, à chez les Juives ün caractère particulier.
Sans savoir si le fait est vrai ou non pour Rappaport, il est certain qu’un père et une mère juifs vendent parfaitement leur fille quand ils sont pauvres, tandis que, dans nos grandes villes, nos pauvres, hélas! se contentent, faute de surveillance, de la laisser se livrer au premier venu. Les courtisanes juives se prostituent pour de l’argent, mais froidement, sans l’ombre d’ivresse, avec l’intention bien arretée de se marier quand