LE JUIF
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Paul Cvriaque, dominicain très érudit. Quand le docteur juif eut cité le Toldos Jechut, le Targum, les Archives du Sanhédrin, le Nissachon vêtus, et le Talmud, la reine finit par lui demander pourquoi les Juifs puaient.
La question de savoir pourquoi les Juifs puaient a longtemps préoccupé beaucoup de bons esprits *. Au Moyen Age on croyait pouvoir les purifier de cette odeur en les baptisant. Bail prétend que ce fait tient à des causes naturelles et qu’il y a encore en Guinée des nègres qui exhalent une odeur insupportable. Banazzini, dans son Traité des Artisans, attribue la puanteur des Juifs à leur malpropreté et à leur goût immodéré pour la chair de bouc et la chair de l’oie.
La névrose, telle est l’implacable maladie des Juifs. Chez ce peuple longtemps persécuté, vivant toujours au milieu de transes perpétuelles et d’incessants complots, secoué ensuite par la fièvre de la spéculation, n’exerçant guère, en outre, que des professions où l’activité cérébrale est seule en jeu, le système nerveux a fini par s’altérer.
En Prusse, la proportion des aliénés est beaucoup plus forte chez les Israélites que chez les catholiques 1 2 , tandis qu’on ne rencontre que *14,1 sur 10,000 protestants, 23,7 sur un même nombre de catholiques, les Israélites accusent sur 10,000 habitants, 38,9.
En Italie, on trouve un aliéné sur 384 Juifs et un sur 778 catholiques.
Le docteur Charcot a fait à ce sujet, dans son cours de la Salpêtrière, les plus curieuses révélations à propos des Juifs russes, les seuls dont on puisse parler, car les autres cachent soigneusement leurs maladies dans leurs palais.
Les Archives israélites, en constatant « ce détail terrible, déclarent que ce fait peut se passer de commentaires et augmente encore,s’il est possible, la pitié qu’inspirent les malheureux Israélites de Russie ». Soit ! que les Juifs malades du cerveau se fassent soigner ! Mais pourquoi troubler sans
1, Martial compare l’haleine des observateurs du jeûne sabbatique aux miasmes qui s’exhalent des vapeurs sulfureuses de l’Albula, à la casaque d’ur vieux soldat, à la fumée du lumignon éteint de la lampe de Leda, à la corruption du lit de la vipère, à l’odeur que dégage le renard.
2. En Allemagne, il y a des établissements spéciaux pour soigner les névroses juives. Nous trouvons dans les Archives l’annonce suivante, où le Talmud, se mêlant singulièrement à l’attirail de la science moderne, ouvre toutes sortes d’horizons à la pensée qui voit là ces millionnaires torturés par la maladie.
Bockenheim — Francfort-sur-Mein Maison de Santé pour névrotiques Israélites.
« Établissement hydrothérapique, électrothérapie, au pied du Taunus, à proximité d’une charmante forêt, arrangé avec confort et d’après la doctrine du Talmud. »