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LA FRANCE JUIVE
cherche vainement à se dissimuler sous le masque d'une philanthropie hypocrite.
Sa devise est : Chacun pour soi.
Les mots de patrie, de religion, de fox n’ont pas de sens pour ces hommes qui ont un écu à la place du cœur.
Une patrie, les marchands n’en ont pas !
Ubi aurnm, ibi patria. La féodalité industrielle se personnifie dans le Juif cosmopolite.
Une religion à la hollandaise foule aux pieds le Christ et lui crache à la face pour acquérir le droit de trafiquer avec le Japonais!
Nul mieux que Toussenel n’a signalé la conquête de tous les États chrétiens par le Juif:
Le Juif , écrit-il, a frappé tous les États d’une nouvelle hypothèque et d’une hypothèque que ces Etats ne rembourseront jamais avec leurs revenus. L’Europe est inféodée à la domination d’Israël ; cette domination universelle que tant de conquérants ont rêvée, les Juifs l’ont entre leurs mains. Le Dieu de Juda a tenu parole aux Prophètes et donné la victoire aux fils des Machabées. Jérusalem a imposé le tribut à tous les Etats; le produit le plus clair du travail de tous les travailleurs passe dans la bourse des Juifs sous le nom il’intérêts de la dette nationale.
Si les Juifs allemands représentés par Rothschild avaient si vite réussi à accaparer la majeure partie de la fortune publique, il convient de reconnaître qu’ils avaient été puissamment aidés par les Juifs portugais.
L’école Saint-Simonienne qui se recruta en grande partie parmi les Juifs, sans exclure cependant les Chrétiens d’origine, fut certes une des plus intéressantes tentatives de l’esprit humain.
Le Saint-Simonisme fut un essai du Juif pour sortir de sa prison, qui n’était plus qu’un ghetto moral, pour devenir ce qu’Henri Heine appelait un Juif libéré. Sans se rallier au christianisme, le Juif tournait la difficulté en fondant une religion nouvelle.
Sans doute, là encore, la jouissance matérielle, la satisfaction de la vie présente, l’amour du bien-être, le culte de l’argent étaient les éléments dominants; mais une velléité d’organisation sociale apparaissait néanmoins. On ouvrait aux gens de grandes visions sur l’avenir; sans aucune exclusion, je le répète, on conviait tous les fils de la famille humaine à des festins magnifiques; on faisait miroiter devant eux des perspectives de terre promise. Une part même était réservée à ces nobles sentiments de l’âme, à ces principes de respect, de foi, de fraternité sans lequels l’homme tombe au rang de l'animal.
Artistes, penseurs, écrivains, hommes à projets, les Saint-Simoniens