LE JUIF DANS L'HISTOIRE DE FRANCE
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VI
LE GOUVERNEMENT DU 4 SEPTEMBRE. — LA COMMUNE. LA TROISIÈME RÉPUBLIQUE.
Les Juifs du Gouvernement de la Défense nationale. — L’austérité des Picard. — La continuation de la guerre. — Spuller le Badois et Steenackers le Belge. — Les deux souverains juifs. — Gambetta et Crémieiix. — L’intervention d’un troisième Juif. — Les espions juifs pendant la guerre. — Les Juifs pendant le siège. — L’entrée des Prussiens à Paris. — Une Bourse dans un camp. — L’ouvrier parisien. — La Commune. — Simon Mayer et la colonne de la Grande Armée. — Comme les hommes de la Restauration, les conservateurs de l’Assemblée de Versailles sont étrangers à tout sentiment de justice. — La répression est à la fois implacable et injuste. — Le talisman des petits papiers. — Les mœurs de la haute démocratie. — Les catholiques se font niaisement l’instrument des haines des hommes du 4 Septembre. — Le duc de Broglie et son ignorance de la réalité — La curée juive en Allemagne et en France. — Paris, dépeuplé par la Commune, est repeuplé par les Juifs.
— Les faux Alsaciens. — Les Juifs prennent la direction du mouvement républicain. — Le manifeste du commerce parisien. — Les Castries et les Sina. — Les idées du comte d’Arnim. — Une insolence de la baronne de Rothschild. — L’embarras de M. Decazes. — Le rétablissement de la Monarchie. — Le comte de Chambord n’a pas voulu régner. — Le 16 Mai. — Le manque d’énergie du gouvernement. — Le testament politique de Four- tou. — Waddington ambassadeur des Juifs. — Le congrès de Berlin. — Les Juifs en Roumanie. — La France chassée de l’Egypte. — Le règne de Gambetta. — Les Juifs préparent une nouvelle guerre contre l'Allemagne. — La grande affaire. — L’attitude du prince de Bismarck. — Roustan entre en scène. — L’expédition de Tunisie. — Nos pauvres soldats. — Le Crédit foncier tunisien et le fez de Mustapha. — La vertu de Floquet. — On cherche de nouveau querelle à l’Allemagne. — L’affaire de la rue Saint-Marc. — La dangereuse folie de Déroulède. — La fête de Sedan. — Gambetta disparaît. — L’archi- mime Ferry. — Le Tonkin. — La recherche de l’or. — Toujours les sociétés financières.
— Lang-Son. — La convention avec les chemins de fer. — Les chemins de fer sénégalais.
— Impuissance absolue de la politique juive. — Le Tohou va bohou talmudique. — La solution de la question sociale.
Le 4 Septembre, comme on devait s’y attendre, mit au pouvoir les Juifs .français : les Gambetta, les Simon, les Picard, les Magnin, auquels, s’il faut en croire M. de Bismarck, qui passe généralement pour assez bien informé, il faudrait joindre Jules Favre. C’est un financier, Edmond Adam, qui prend possession de la préfecture de police. Camille Sée, le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, est Juif.
L’ouvrage de M. Busclt, le Comte de Bismarck et sa mite pendant la guerre de France, est très explicite à ce sujet. Le 10 février, en parlant de Strousberg, le ministre dit :
Presque tous les membres ou au moins beaucoup de membres du Gouvernement provisoire sont Juifs : Simon, Grémieux, Magnin et Picard, qu’on ne croyait pas Juif, et très probablement aussi Gambetta, d’après le type de son visage,- j’en soupçonne même Jules Favre.