812
LA FRANCE JUIVE
double âpreté qu’inspirent l’espoir de l’argent à gagner et la perspective du mal à faire.
Tous les livres approuvés par le ministère et destinés à détruire le sentiment religieux dans de jeunes esprits sont publiés par des Juifs.
C’est un Juif, les Archives Israélites nous l’apprennent, que ce Giedroye qui fabrique ce livre singulier, la Gerbe de l’Écolier, dont la presse républicaine elle-même a fait des gorges chaudes et dans lequel le nom de Dieu est supprimé de tous les passages d’auteurs classiques dans lesquels il figurait.
Petit poisson deviendra grand Pourvu que Dieu lui prête vie.
Petit poisson deviendra grand Pourvu qu'on lui laisse la vie.
Ainsi s’exprime Giedroye qui obéit lui aussi à l'instinct de sa race en déshonorant et en mutilant les chefs-d’œuvre que la France a produits quand les Juifs, grâce à Dieu , n’avaient pas accès chez nous.
Cette haine de Dieu arrive à la monomanie. Au mois de mai 1885, nous voyons reparaître Camille Dreyfus qui soulève au Conseil municipal un débat grotesque.il veut proscrire Victor Hugo de l’école, parce que le nom de Dieu se trouve dans les œuvres du poète qu’on y parle de la prière, qu’on y rencontre des vers comme ceux-ci :
Donnez, riches, l’aumône est sœur de la prière...
Donnez, afin que Dieu qui dote les familles...
Le Conseil municipal approuve ce Juif, et une enquête sévère est prescrite.
C’est le Juif Lyon-Alemand qui, au mois de mars 1885, dénonce au Conseil municipal un professeur de Chaptal, M. Pellissier, qui jouissait de l’estime de tous. Quel était le crime de ce savant? On ne lui reprochaitpas d’avoir violé la neutralité de l’école, d’avoir communiqué ses idées à ses élèves. Il avait simplement usé de son droit individuel, de la liberté de penser dans ce qu’elle a de plus sacré, en publiant sous ce titre : les Leçons de l'antiquité chrétienne , un livre plein de nobles enseignements et d’éloquents aperçus qui reçut de l’Académie Française un prix Monthyon. Dans ce livre, l’écrivain s’était permis de constater l’influence mora-