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La France juive : essai d'histoire contemporaine / Édouard Drumont
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LE JUIF

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pas à plaindre? Vous tous petits et grands qui défendez comme vous pouvez la victime du Calvaire, le Dieu quont prié vos pères, ne vous sen­tez-vous pas plus heureux que cet apostat qui baise la main du bourreau du Christ pour une poignée décus quon lui jette avec dégoût ? Croyez- vous que le vieux pasteur dépouillé par Goblet, le pauvre prêtre de Savoie auquel le misérable Isaïe Levaillant a volé son petit traitement, qui disent leur bénédicité devant un morceau de pain noir, nont pas làme plus tranquille au fond que cet académicien riche, bien renté et ami des Rothschild ?

Les défauts du Sémite expliquent que lantagonisme naturel qui existe entre lAryen et lui se perpétue à travers les siècles.

Si vousvoulez comprendre lhistoire du Moyen Age , regardez ce qui se passe chez nous.

La France , grâce aux principes de 89 habilement exploités par les Juifs, tombait en dissolution. Les Juifs avaient monopolisé toute la fortune pu­blique, tout envahi, à part larmée. Les représentants des vieilles familles, gentilshommes ou bourgeois, sétaient divisés en deux classes : les uns se livraient au plaisir, avaient pour maîtresses des filles juives qui les cor­rompaient ouïes ruinaient, des marchands de chevaux et des usuriers, juifs également, qui aidaient les filles. Les autres obéissaient à cette attraction de la race aryenne vers linfini, vers le Nirwana indoue, le paradis dOdin ; ils se désintéressaient presque du mouvement contemporain, ils se per­daient dans lextase ; ils navaient presque plus pied dans la vie réelle.

Si les Sémites avaient eu quelques années de patience, ils touchaient au but. Un des rares hommes vraiment sages quils comptent parmi eux, un disciple de Philon , un représentant de lécole juive dAlexandrie , Jules Simon , leur dirait bien ce quil fallait faire : occuper la terre tout doucement et laisser les Aryens émigrer au ciel.

Les Juifs nont jamais voulu entendre de cette oreille-; au Sémite Simon ils ont préféré le Sémite Gambetta.- Sous prétexte que ce Fonta- narose avait fait avaler aux Français les bourdes les plus énormes, ils lont soutenu, commandité, appuyé; ils ont cru quil allait les débarrasser de ce Christ quils haïssent comme au jour ils lont crucifié. La Franc- Maçonnerie a donné, les journaux juifs ont monté lopinion, on a prodigué

les socialistes, marchand de vin chez les marchands de vins. Le plus étonné a être ce pau­vre Mickiewicz , qui, en maintes occasions, notamment dans son livre populaire Ksieje Piel- grzÿma, a flétri « lâme sordide des Juifs et leur vil esprit ».

Nous verrons, dans ce livre, Renan tombé plus bas encore.