LE JUIF
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heures radieuses de l’Hellade, le dieu à l’arc d’argent, Smynthée Apollon guider le chœur sacré des Muses sœurs ! '
Cette impuissance à s’assimiler dans sa substance même la langue d’un pays s’étend jusqu’à la prononciation. Le Juif, qui parle si facilement tous les idiomes, garde toujours je ne sais quel accent guttural qui le décèle à un observateur attentif. Richard Andrée a constaté ce fait dans ses Observations intéressantes sur le peuple juif : « Quelque habiles, dit-il, que soient les Juifs pour s’approprier la langue du pays, et quoiqu’ils la regardent à la longue comme leur langue maternelle, ils n’arrivent que rarement à la parler assez correctement pour qu’on ne puisse pas les distinguer des indigènes. La plupart de nos Juifs instruits eux-mêmes ont un accent particulier qui les fait reconnaître sans les regarder. C’est une marque de race qui se trouve chez les Juifs de toutes les nations. Rohep (Premier séjour au Maroc) a été frappé du même phénomène. »
Les Juifs, écrit-il, ne peuvent nulle part apprendre complètement la langue du pays qu’ils habitent. On reconnaît de suite le Juif allemand à sa prononciation bizarre; il en est de même des Juifs de l’Afrique septentrionale. On reconnaît le Juif entre cent Arabes à son accent, bien qu’il ne diffère pas par sa physionomie et son costume. Rien n’est plus risible que d’entendre un Juif parler l’arabe et la langue des Etats barbaresques.
Incapable de s’élancer à la découverte dans les régions de l’art, le Sémite n’a pas davantage interrogé les domaines inconnus de la science. Tout ce qui est une exploration de l’infini par l’homme, un effort pour agrandir le monde terrestre est absolument en dehors de sa nature. Il vend des lorgnettes ou fabrique des verres de lunettes comme Spinoza, mais il ne découvre pas d’étoiles dans l’immensité des cieux comme le Verrier ; il ne pressent pas plus un continent à l’horizon, comme Colomb 1 , qu’il ne devine les lois de la pesanteur dans l’espace, comme Newton.
Maintenant qu’ils sont les arbitres de l’opinion, qu’ils dominent dans les académies, grâce à la lâcheté des chrétiens, les Juifs nous racontent des histoires de l’autre monde : ils ont gardé le dépôt de la science
I. Comme saint Louis, comme le Dante, Christophe Colomb était un tertiaire de l’ordre de Saint-François. Il paraît maintenant démontré que Jeanne d’Arc appartenait aussi au tiers ordre; elle fut encouragée et soutenue dans sa mission par le P. Richard, le célèbre prédicateur de l’époque. Les franciscains ont joué un grand rôle dans la délivrance de la France et dans la guerre contre les Anglais. Les agents juifs allemands déguisés en républicains savaient bien ce qu’ils faisaient en traquant nos religieux.
Voir, à ce sujet, un article de M. Siméon Lucedansla Revue des Deux Mondes du 1 er mai 1881, et le magnifique ouvrage Saint François d’Assise, publié par les R. P. capucins sous la direction du P. Arsène de Chatel et du P. de Porrentruy.