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LA FRANCE JUIVE
dans le Moyen Age, ils nous ont transmis les découvertes des Arabes. Rien n’est plus faux; les Juifs ont paru savants en utilisant quelques bribes des livres a Aristote, mais, dès qu’on a été à la source, on s’est aperçu que rien ne venait d’eux; malgré leur horreur pour les reliques, ils jouaient simplement le rôle de l’âne de la fable.
Pendant des siècles, ils ont monopolisé l’exercice de la médecine qui leur rendait l’espionnage facile en leur permettant de s’introduire partout, et ils ne se sont pas doutés une minute de la circulation du sang. Bail *, qui leur est pourtant bien favorable, reconnaît qu’ils étaient mille fois plus ignorants que leurs contemporains sous le rapport scientifique ; ils croyaient que les cieux étaient solides; le firmament, rakiak, était percé d’ouvertures par lesquelles la pluie tombait. Ils regardaient l’os, Luz, comme la racine du corps où aboutissaient tous les viscères, et qui ne pouvait être ni brisé ni moulu; ils formulaient des axiomes comme ceux-ci : « Un peu de vin et de pain pris à jeun préserve le foie de soixante maladies... C’est un signe certain de pléthore sanguine lorsqu’on rêve à une crête de coq. »
Gela n’empêche pas M. Darmesteter *, sous-directeur à l’école des Hautes Etudes, de nous affirmer » que le Moyen Age a été chercher au ghetto sa science et sa philosophie ».
Que M. Darmesteter nous parle de « l’action sourde et invisible » des Juifs contre l’Eglise, « de la polémique religieuse qui, pendant des siècles, ronge obscurément le christianisme », à la bonne heure! Mais prétendre que les Juifs ont rendu un service quelconque à la science, c’est se moquer de la candeur des jeunes gens chrétiens que Ferry a chargé ce Juif d’instruire.
C’est à l’Aryen qu’on doit toutes les découvertes, petites ou grandes, l’imprimerie, la poudre, l’Amérique, la vapeur, la machine pneumatique, la circulation du sang, les lois de la pesanteur. Tous les progrès se sont produits par le naturel développement de la civilisation chrétienne. Le Sémite, il ne faut pas se lasser de le répéter, n’a fait qu’exploiter ce que le génie ou le travail d’autrui avait conquis. Le véritable emblème du Juif c’est le vilain oiseau qui s’installe cyniquement dans le nid construit par les autres.
Maintenant que nous avons indiqué les traits principaux qui sont communs à peu près à tous les Sémites, examinons de plus prés la race et l’espèce.
1 . Etat des Juifs.
2 . Coup d’oeil sur l’histoire du peuple iuif.