IM
LA FRANCE JUIVE
lépreux, saisi dans sa terre, avoue qu’un riche Juif lui a donné île l’argent et rem.', certaines drogues. Gos drogues se composaient de sang humain, d’urine, à quoi on ajoutait le corps du Christ; le tout était séché et broyé, mis en un sachet avec un poids, et jeté dans les fontaines ou dans les puits. »
Quoi d’étonnant à ce que les lépreux aient été excités par les Juifs? Ne retrouve-t-on pas là les procédés habituels, la manière, le système constant du Sémite ? Pour les Juifs, les lépreux, les malheureux prolétaires, ces parias, ces lépreux de la civilisation moderne, les moujicks de Russie sont des instruments tout trouvés qu’ils montent, qu’ils agitent, qu’ils trompent, qu’ils déchaînent sur la société avec de grands discours contre les tyrans et qu’ils abandonnent aux répressions impitoyables, lorsque Israël a tiré d’une révolution tout le profit qu’on en pouvait tirer.
Ne faites pas attention à ce mélange singulier d’urine et de sang humain; supposez qu’il s’agisse de pétrole, de nitro-glycérine ou de dynamite, et vous serez en plein mouvement moderne. Que ce soit Naquet prêchant l’emploi du fulmicoton sous l’Empire, les Juifs Goldeberg, Hartmann ou la Juive Jessa Hoffmann employant la nitro-glycérine en Russie , vous trouverez toujours le Sémite dans toutes ces affaires spéciales. Le tempérament aryen ne se trouve là nulle part. L’Aryen donne un coup de poignard ou tire un coup de fusil, mais ne comprend rien à toute cette chimie.
Les relations des Juifs du xiv' siècle avec les étrangers ne sont guère plus discutables. Je ne vois pas très bien sur quelles raisons on a pu s’appuyer pour contester l’authenticité des lettres adressées aux Israélites par le roi de Grenade et le roi de Tunis . L’authenticité ne peut faire l’ombre d’un doute *.
La plus importante de ces lettres, c’est-à-dire la traduction originale en langue française certifiée par cinq notaires royaux et scellée, est conservée dans le trésor des Chartes (Archives nationales , carton J, 427, n“ 18 p).
Voici,d’ailleurs, le texte de ce document qui n’a pas été jusqu’ici publié :
« A Sanson, fils de Hélias, Juyf, de par le roy de Grenade. Vous nous avez mandé que vous avez donné aus meiseaus par devers Saint-Jaque tout l’or que nous vous avons tramis. Si vous mandons que ce nous plaît que vous les paiez bien, quar vous nous avez mandé que GXV meisel por
1. Si l'on publiait les lettres échangées entre le Juif Elias Mussali et les banquiers et hommes d’Etat juif3 qui ont organisé l'expédition de Tunisie , on trouverait sans nul doute des choses plus fortes que cela contre les chiens de chrétiens qui ont été se faire tuer pour procurer dos millions aux Camondo et aux Hirsch.