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LA KBANCE JUIVE
Se servir d’un prince étranger, que ce soit un Napoléon I" contre l’Allemagne ou un Guillaume contre la France, comme d’un point d’appui, faire battre les Chrétiens entre eux, et amener par ces divisions le triomphe d’une race dont tous les enfants se tiennent étroitement par la main, — telle a été la doctrine constante des Juifs, et c’est à elle qu'ils ont dû tous leurs succès.
L’Europe évidemment a traversé, à la tin du xiii» siècle et au commencement du xiv", une période de crise analogue à celle que nous traversons en ce moment, où la Haute Banque, la Franc-Maçonnerie, la Révolution cosmopolite, toutes trois aux mains des Juifs, concourent au même but par des moyens différents. Elle s’est heurtée à cette prétention du Juif d’enlever à la fois aux Chrétiens et l’idée religieuse qui aide à se passer d’argent, et l’argent, d’autant plus nécessaire qu’on ne croit qu’à une vie toute terrestre.
La soudaineté de décision dont Philippe le Bel fit preuve en arrêtant partout les Templiers sauva du Sémitisme la Chrétienté, comme la victoire de Charles-Martel, à Poitiers, l’avait sauvée du même fléau six siècles auparavant, connue un coup vigoureux et simultané frappé sur les Juifs par tous les souverains d’Europe la sauverait encore aujourd’hui.
[Æs Juifs, tour à tour chassés et rappelés, apparurent encore quelque temps parmi nous. Sous Philippe de Valois, on essaya d’utiliser leur génie fiscal en en faisant des percepteurs d’impôt. Jean le Bon, en arrivant au trône, paraît avoir voulu tenter une décisive épreuve, et il la tenta dans des conditions de loyauté très frappantes. On assura aux Juifs un séjour de vingt ans, et le fils du roi Jean, comte de Poitiers, fut constitué gardien de leurs privilèges. Charles V et Charles VI confirmèrent ces dispositions.
Avec leur incroyable obstination dans le mal, les Juifs continuèrent à poursuivre leurs intrigues multiples. Ils recommencèrent à ruiner le pays par l’usure ; ils se procurèrent des hosties pour les profaner, ils égorgèrent des enfants le Vendredi Saint. Naturellement, le peuple, moins patient qu’à présent, hurla ; les prédicateurs tonnèrent, et les rois durent adopter de nouveau des mesures préservatrices.
Charles VI prit enfin, le 17 septembre 1394, un arrêt d’expulsion définitif : il bannit les Juifs de ses États à perpétuité, et leur défendit d’y demeurer sous peine de la vie.
Cette expulsion, comme le fait remarquer dans son livre : Des Juifs en France, M. Hallez, qui est pourtant favorable aux Israélites, diffère absolument des précédentes par son caractère comme par ses résultats : - Elle