M. d’Arneth. L'Autriche est depuis de longues aimées la proie des Juifs. L’aristocratie, charmante et généreuse,- mais victime de ses vices, est absolument sous le joug d’Israël ; le véritable ambassadeur d’Autriche à Paris , on l’a vu par les lettres trouvées sur ce pauvre comte de Wimpfen , est le baron Hirsch. M. d’Arneth a voulu disculper Israël d’un des innombrables méfaits qu’on lui attribue en llétrissant un écrivain français . Il eût été digne de M. Vitu de déjouer cette ruse en se livrant à une élude plus
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