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pose. Cela ne se peut, nous en avons en quelque sorte la preuve dans l'éternité même du peuple dont nous parlons.
La ftligion n’est ordinairement relative qu’aux choses qui intéressent la conscience ; chez les Juifs la religion embrasse tout ce qui fonde et régit la Société. De là les Juifs forment partout une nation dans la nation : ils ne sont ni Français , ni Allemands , ni Anglais , ni Prussiens , ils sont Juifs.
De ce que les Juifs sont moins une secte qu’un peuple, il suit qu'il n'était pas prudent de les déclarer citoyens sans examiner s’ils pouvaient et s’ils voulaient même franchement le devenir; il suit encore qu’il ne saurait être déraisonnable ou injuste de soumettre à des lois exceptionnelles une sorte de corporation qui, par ses institutions, ses principes et ses coutumes, demeure constamment séparée de la société générale.
En assimilant, sans précaution, les Juifs à tous les autres Français , on a appelé une foule de Juifs étrangers qui ont infesté nos département frontières, et on n'a point opéré, sur la masse des Juifs plus anciennement établis en France , les heureux changements que l'on se promettait du système de naturalisation qui avait été adopté. A cet égard, les circonstances présentes parlent sufiisaminent d’elles-mêmes.
Les Juifs à ce moment, n'avaient pas encore inauguré leur nouvelle manière, le grand mouvement financier qui sera, comme on dit « la gloire du xix e siècle, » et qui consiste à faire aller, venir, revenir l'argent, danser et miroiter l’or, à chiffonner et à froufrouter les billets bleus de façon à ce que le regard papillotant et troublé par ces tours de passe-passe n’aperçoive pas que ce mouvement est très simple et qu’il consiste à introduire dans les poches de l’Israélite ce qui est dans les poches du Chrétien ; ils n’opéraient pas encore sans douleur; ils s'en tenaient au vieux jeu, à la classique usure, et, délivrés de toutes les entraves monarchiques, armés de leurs
La malheureuse Alsace ràlaihsous le Vampire , priait, suppliait, criait, s'agitait, menaçait. Le brave Kellermann, qui avait conduit tant de charges héroïques, sentait son courage l’abandonner devant ce Ilot de Juifs allemands qui s’abattaient sur l’infortunée province qu'il gouvernait.
Eperdu, il versait ses chagrins dans le sein de l'Empereur et il écrivait de Colmar , à la date du 23 juillet 1800 :
La masse des créances pour lesquelles ils ont obtenu des inscriptions
qui 11 e s’était pas encore présenté dans les cours criminelles de l’Alsace. Ces cours ont eu à juger, depuis quelque temps, des causes pour de fausses quittances qu’on opposait aux Juifs dont la mauvaise foi a seule inspiré
Les corps administratifs et judiciaires ont dû transmettre au ministre
droits de citoyens, ils s’en donnaient à cœur joie.
est effrayante.
Les usures des Juifs sont si énormes qu’elles ont donné lieu à un délit
l’idée.
de Votre Majesté des détails plus étendus sur les maux qui résultent de l'usure et de la mauvaise foi des Juifs.