LE JUIF DANS L’HISTOIRE DE FRANCE
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Portrait du comte d’Arnim.
une heure, et s’évadant d’une responsabilité qu’il avait cherchée par vanité, par un subterfuge digne d’un sauvage *.
I. Trochu, notez-le, s’arrange même pour ne pas mentir à l’impératrice. Quand elle lui demande si on peut compter sur lui, il ne répond ni oui ni non; il répond : « Madame, je suis Breton, catholique et soldat. » Tout cela est strictement vrai. Il avait dit : « Le gouverneur de Paris ne capitulera pas, » et il donne sa démission au moment de la capitulation. C’est le pendant de l’histoire du seigneur breton qui avait engagé sa parole de ne pas voir le roi à son passage à Paris , et qui, pour ne pas manquer à la lettre de son serment, causa avec lui dans l’obscurité.