(D’après une'de ses dernières photographies dans la pantomime de Pierrot assassin ).
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n’aurait peut-être pas donnés à un Chrétien. Si vous aviez fait partie de l’ambassade de France , vous vous seriez dit évidemment : « Voilà un Prussien auquel j’éviterais de confier les affaires de mon pays.» Wolfflui- nième semble l’avoir compris ainsi.
Il allait donc par la ville, raconte le biographe, fuyant les Français , presque honteux, lorsqu’il se rencontra inopinément avec M. de Bourgoing,
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80 e I.IV.