PARIS JUIF ET LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE
Les banquiers élégants... i (p. 699).
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catastrophe finale, je le répète, n’est plus qu’une question de temps. Il n’est pas un être qui pense qui ne prévoie le dénouement. Causez avec quelque religieux qui suit de loin ce navire qui sombre, et lisez ensuite quelque chroniqueur bien boulevardier, bien frivole, bien athée, et ils vous diront la même chose.
Un jour qui n’est peut-être pas loin, écrit Aurélien Scholl, la chaudière éclatera. De grandes maisons de crédit crèveront comme des ballons surchauffés ; il n’y aura plus que des ruines autour de nous: Paris sera Ischia après le tremblement de terre ! Ce ne sera pas encore la fin du monde mais ce sera au moins la fin de ce monde-là.
Je ne serai pas de ceux qui le regretteront.
Moi non plus.
Sans doute il faut prier pour ces imprévoyants, ces corrompus, et ces niais. Et cependant, si de suppliants on nous transformait en juges, si on
1 • Gravure extraite du Jeileles Teutonicus, et intitulée : « les Grands dignitaires de la ^ couronne de Juda. »