LA PERSÉCUTION JUIVE
813
lisatrice et féconde du christianisme. Lyon-Alemand fut indigné de cette audace et le malheureux professeur fut brutalement révoqué après vingt- cinq années de services.
G est un Juif allemand, üllendorll, dont la famille est originaire de Rawicz (duché de Posen ) qui, secrétaire de Ferry , excitait contre Jésus- Christ cet homme qui cependant n’a pas besoin d’encouragement pour le mal *.
Quilly, le prêtre défroqué, l’âme damnée de Paul Bert, qui se sert du peu de science théologique qu’il possède pour fournir à ce malfaiteur des arguments pour insulter l’Église, est un instrument des Juifs : il a épousé une Juive allemande nommée Salomé Brandt.
Tout l’enseignement supérieur sera d’ici à quelques années aux mains des Juifs. Nous trouvons rien qu’à l’École des Hautes Études : philologie : directeur-adjoint, M. Henri Weil ; grammaire comparée, directeur des études : M. Michel Bréal ; langue zende, directeur-adjoint, M. James Darmesteter ; langue sémitique : directeur des études, M. Joseph Deren- bourg ; langue arabe, M. Hartwig Derenbourg ; langue éthiopienne et himya- rite,M. Joseph Halévy ; Philologie et antiquités assyriennes, M. Jules Oppert .
Parmi les meneurs de l’œuvre de destruction entreprise contre tout ce qui rappelle la Patrie d’autrefois, une place à part doit être réservée au Juif allemand Michel Bréal . Celui-ci se chargea de poursuivre la vieille France dans ces belles lettres, ces humanités, humaniores litterœ, qui rendent l’homme plus humain, plus civilisé. Il fut l’instrument de ce besoin qu’a le Juif de tout abaisser, de tout niveler, dont nous avons parlé si souvent dans ce livre.
Grâce aux méthodes pédagogiques allemandes, que Michel Bréal fit adopter en France , les pauvres cervelles de nos enfants, brouillées par mille notions confuses, devinrent incapables d’aucun effort sérieux. Le niveau des études classiques baissa rapidement, et les candidats au baccalauréat en arrivèrent à ne plus savoir l’orthographe.
Les Facultés sont unanimes, dans leurs rapports, à se plaindre de cette lamentable décadence. Un des hommes qui connaissent le mieux les questions d’enseignement, M. Albert Duruy , a publié à ce sujet un travail fort remarqué * où il met admirablement en relief l’effort accompli pour
1. Dès son arrivée au ministère, Lockroy s’empressa d’appeler ce Juif à lui, et il le nomma chef du cabinet du ministre et directeur du personnel.